Sous un abre

Un jeune homme était assis près d'un arbre, dans la cour.Il écrivait et griffonner sur un petit cahier, tout en cherchant de l'inpiration quelque part.Il vit une fille arrivait dans sa direction.Le jeune homme rangez son calepin, et lui dit poliement : « Bonjour .»

Il exquissa un sourire amusé. « Non, et alors ? Quand on voit quelqu'un s'approcher, la moindre des choses est de lui dire bonjour ^^»

« J'étais la avant.» dit il simplement, toujours assis pres de l'arbre. « C'est mon coin depuis un an, je vais pas le changer pour toi.»

« Comme tu voudras, Mlle.» Il soupira et retourna sur son calepin:

Lucas écrivait un texte, qu'il raturait souvent.Il vit la jeune fille avec les cheveux lâché, quand il avait relever la tête.{Elle est plus jolie les cheveux lâchés..}

« Rien.» il exquissa un sourire et retourna sur ses écrits. « Tes cheveux sont plus jolis lâché.» il rit légèrement.

« Tu as raison de te taire, C'est agréable le silence.» murmura-t-il en continuant d'écrire sur son petit cahier.

« La c'est toi qui a parler !» il rit .

Le jeune homme se remit à écrire sur son cahier.Cette fille aux cheveux rouges lui avait donner un certain nombre d'inspiration.

(Mais ne parla pas * )
Elle regarda Lucas écrire en silence

Son ouvrage terminé, il le relit en silence : « Tous les jours elle monte
Sur la scène de sa vie
Quand ses âmes s’affrontent
Sous son bouclier gris…

Et c’est avec prestance
En sourires et délices
Qu’elle garde la distance
Dans son rôle d’actrice…

Elle rit, elle danse
Gesticule et s’exprime
En cachant en silence
Tous les maux qui l’abîment…

Tous les jours elle monte
Devant bien des gradins
Quand son coeur raconte
Le mal-être assassin…»

[ Valérie S. (Art & Poèmes)]

« Si tu veux » le jeune homme exquissa un sourire. « Je ne crois pas que quelqu'un ai déjà lu mes œuvres exeptée ma professeur de français.» il rit.Son rire était plutôt angéliques et maladroit, cachant sa gêne de le tendre à la demoiselle.Il lâcha son poème et le lui donna, accompagné d'un regard plaisant. « C'est un brouillon, j'ecris souvent ce qui me passe par la tête »

« Merci ! Je l'ai dis » il sourit. « Tu es la première à l'avoir lu.»