It's just the begenning

Messages : 144 Date d'inscription : 18/03/2012

C’était le premier jour a Subete pour Midori, elle appréhendais ce moment depuis plus d’une semaine mais elle était aussi très heureuse et impatiente de commencer les cours. La boulle au ventre, elle arriva devant la grille, son casque audio sur les oreilles, elle se dit:
« Ca y est, j’y suis, je vais enfin pouvoir concrétiser le rêve de toute une vie. »
Un léger sourire se dessinait sur ces lèvres a la vue du grand bâtiment qui se dressais majestueusement devant la jeune fille. Mais ce sourire s’effaça rapidement a la vue de toute les personnes dans la cours, elle avait peur de revivre les mêmes persécutions que l’année passée, ses yeux commencèrent a briller, ils étaient emplis de larmes prêtent a se déverser sur le visage angélique de Midori. Un groupe de garçon d’une vingtaine d’année observait la jeune fille et l’un d’entre eux s’avança vers elle et lui dit :
« Hey, ma jolie, tu sais que tu es mignonne, aller viens avec nous, tu verras on sait s’amuser nous »
Midori avais peur de l’homme qui ne paraissais pas sobre, son haleine sentais l’alcool. Elle était tétanisée, n’osant parler. Il se rapprocha d’elle, le souffle de la jeune Midori s’accéléra. Un des membre du groupe de garçon cria
« C’est bon, lâche la, elle en vaut pas le coups, c’est pas une fille comme elle qui nous faut ! »
Sur ses mots, l’homme s’en alla, laissant une Midori pétrifiée. Des tas de choses lui passait par la tête, au bout de cinq minutes elle sécha ses larmes et s’avança vers la cour.

Administrateur Messages : 15 Date d'inscription : 17/03/2012

J'arrivais comme toujours à pied. L'air frai du matin me réveillé et me détendait avant le début des cours. Cette marche solitaire était le moment de la journée que j'appréciais le plus; personne pour te parler, t'ordonner de te dépêcher d'avancer plus rapidement, personne à tes cotés pour t'agacer. Un moment paisible où je me permettais de rêver. Rien que moi et ma musique. Ma musique? Bien sûre jaimais je ne suis sortis sans mon casque et mon baladeur. À présent je me trouvais dans un aitre monde, parfaitement dans mon élément. La mélodie qui passait à cet instant était "Face" de Nu'Est, il s'agissait d'électro-urbain, le top pour se motiver et pour être dynamique dès le matin. J'imaginais une chorégraphie dessus.

Ma pensée s'arrêta net à la vue de la grille de l'école. La routine reprenait place. Une journée banale s'apprêtait à démarrer. L'ennuis me prit. Je descendis une partie de mon casque pour avoir une oreille de libre et ainsi entendre les nouveautés qui fusaient dans la cours. Je franchis ces grandes barrières un léger sourire moqueur aux lèvres. Malgrès tout je n'étais guère enthousiaste à l'idée de la reprise des cours. Encore une année qui arrivent, ces jours qui se suivent et se ressemblent. Ce n'était pas mon genre mais j'étais contrains d'accepter mon sort.

Entrant dans la cours cette impression de déjà vécut me troubla et me mis quelque peu mal à l'aise. Le soleil tapait déjà fort en ce début de matinée, je plaissai les yeux pour reconnaitre quelques connaissances mais je ne voyais que des ombres.

Je m'avançais alors vers un banc jeta mon sac dessus •Toute en délicatesse et avec grace• pensais-je.
Je souris et ne perda pas un instant pour m'allonger sur les pierres froides. L'arbre qui me couvrait laissé passer entre ses branchages de fin rayon de soleil, c'est fort agréable. Je ferma les yeux et soupira. Mais ce some ne dura pas. A quelques pas de moi des jeunes discutaient •Ils ne peuvent vraiment pas aller ailleurs, ce n'est pas croyable ça quand même• pensais-je.

Me redressant sur le banc, j'essayai d'intercepter un morceau de leur conversation en vain, la situation qui se déroulait sous mes yeux me parut assez complexe. Finallement le jeune homme quitta la demoiselle et fit demi tours. Je leva un sourcil surpris par ce qui venait de se passer. J'éteignis mon baladeur et le fit glisser autour de mon cou. La jeune fille n'avais toujours pas bougé, aucun geste, elle était là en plein milieu de la cours comme statufiée sur place. Intrigué je décida de m'orienter vers elle. Je passa ma main derrière ma tête, et regarda aux alentours. Reportant mon attention sur la jeune fille, je m'abaissais de sorte à être au même niveau qu'elle. Je l'a regarda dans les yeux, mais rien.

Énervé par de manque se réactivité et ce soleil qui m'ébloussait; je me redressa rapidement. Je mis mon bras autour de ses épaules et l'a dirigea vers le banc où était resté mes affaires et à l'abris de ce temps radieux. Je l'a fis s'asseoir, et me plaça sur le dossier du banc. Je lui tendis ensuite une bouteille d'eau, fixant l'horizon.